Après le premier salon de Logonna Daoulas, direction: Guipavas où du 5 au 20 novembre 2016 à l’Alizé, se tiendra ce 34ème salon d'Automne ,
C'est ouvert tous les jours de 14 à 18h,
J'y vais avec trois peintures "islandaises":
Ce premier fjord en arrivant dans la péninsule de Snaefellness est l'un des plus beaux que nous ayons vu.
Sur la 1, avant Skogar, un petit troupeau de vaches s'accroche aux contreforts du volcan. Elles n'ont pas de cornes! Un peu moins présentes que les chevaux islandais, elles agrémentent cependant fréquemment le paysage. Wikipedia nous apprend qu'elles sont 75 000 sur l'île et qu'elles aussi, comme les chevaux, ont subi peu de croisements génétiques du fait de l'isolement de l'île. Leurs "ancêtres" auraient été importées de Norvège lors du peuplement de l'île par les vikings au Xème siècle. Certainement une belle navigation à l'époque! C'est un plaisir de peindre leurs robes variées: brunes, rouges, pie noir, pie rouge...
successivement: fjord de Berufjordur, la statue de Skuli Magnusson Fogeti à Reykjavik, paysage du Kolgrafarfjordur dans la péninsule du Snaefellsnes,
Principal objectif 2015: une exposition de peintures sur l'Islande, principalement des aquarelles sur Arches 36 x 51 cm et 46 x 61 cm mais aussi, je l'espère, quelques acryliques.
Mettre en peinture:
la géographie spectaculaire, la « géomorphologie » des paysages (glaciers, volcans, geysers...) , les fjords..
la biodiversité islandaise: oiseaux de mer, canards, oies et cygnes au vol lourd et majestueux, sans oublier les chevaux islandais avec leur crinière typique, très présents dans le paysage, les troupeaux de moutons ou de vaches, qui souvent sont la seule présence vivante dans le paysage,
l'Islande contemporaine, avec bien sûr Reykjavik, certains de ces nombreux petits ports côtiers très actifs, avec des installations géothermiques que l'on voit fumantes, ici et là dans le paysage,
évoquer la place laissée dans l'imaginaire islandais par les « Pêcheurs de France » ( pour reprendre le titre de l'ouvrage de Maria Oskarsdottir),
Pas forcément évident mais rien n'empêche d'essayer,
avec l'espoir d'exposer dans la région de Paimpol, à Ploubazlanec, hauts lieux de la pêche française en Islande pendant quelques siècles.
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Peinture de paysages, la production et les expositions de Claude Marchalot, au fil du temps, sur Brest et Recouvrance, sur les sentiers côtiers du finistère nord: Plouguerneau, Lampaul Plouarzel, Le Conquet, Plougonvelin... puils la rade de Brest, le Portugal, l'Islande