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Peinture de paysages, la production et les expositions de Claude Marchalot, au fil du temps, sur Brest et Recouvrance, sur les sentiers côtiers du finistère nord: Plouguerneau, Lampaul Plouarzel, Le Conquet, Plougonvelin... puils la rade de Brest, le Portugal, l'Islande

ENKI 2017, Festival des carnets de voyages

 

Ca se passe à 

Brest du 12 au 14 mai au Quartz

Témoignages dessinés, Urban sketchers en exposition et en action, carnets de grands espaces et bien d’autres rendez-vous… Tels sont les axes principaux de cette 8e édition.

Ouverture de 10 h à 19 h le vendredi, de 10 h à 21 h le samedi, de 10 h à 18 h le dimanche.

Entrée : prix libre.

 

J'y présenterai mon carnet de voyage islandais:

grand format de 30 x 30 cm, 215 illustrations dont 40 peintures, avec commentaires associés (voir ci-dessous). Ce carnet sera disponible sur le stand de la librairie ENKI pour 23 €

 

Pour toute information sur le festival,

le site ENKI

 

 

L'affiche du festival

L'affiche du festival

Après quelques décennies passées au service de la recherche océanographique, l'Islande ne pouvait manquer d'être, pour moi, une destination fascinante.

Cette île de glace et de feu, traversée de part en part par la dorsale médio-atlantique, est un livre de géographie grand ouvert :
. sur l'expansion océanique qui chaque année élargit son territoire de quelques centimètres,
. sur la tectonique des plaques et le volcanisme qui l'accompagne, que les islandais exploitent, malgré les dangers, pour se chauffer, cultiver et produire de l'électricité,
. sur les impacts tangibles du réchauffement climatique, ici mesuré par le recul des glaciers
. et sur la biodiversité marine avec des ressources halieutiques importantes et une pêche omniprésente le long de ses côtes.

L'Islande, c'est aussi l'histoire d'une extraordinairement tenace communauté humaine d'environ
300 000 habitants aujourd'hui qui, depuis cinq siècles, a réussi à subsister et se développer dans un environnement hostile et difficilement accessible, communauté dont le destin a parfois croisé le notre : marié à une paimpolaise et intéressé depuis longtemps par « l'épopée islandaise », j'en ai retrouvé (et peint) nombre de témoignages dans le paysage : stèles, hôpital, cimetière… avant de découvrir dans une librairie de Reykjavik, le surprenant livre « Pêcheurs de France, vus par les islandais » de Maria Oskarsdottir, miroir islandais étonnant de l'ouvrage très réaliste de François Chappé (L'épopée islandaise, édition L'Albaron, 1991) et du romanesque « Pêcheurs d'Islande » de Pierre Loti.

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